A lire attentivement et regarder la vidéo (lien en fin de tete.)
Bonne lecture
To:
josianebulka@hotmail.comSubject: FUKUSHIMA, H1N1 : UNE MÊME LOGIQUE
Date: Mon, 20 Jun 2011 13:49:11 -0400
From:
jean-jacques-crevecoeur@ayin.lefacteur.caAvertissement.
- Ce
courriel fait une rapide synthèse de la situation à Fukushima. Il a
pour but surtout de vous faire réfléchir sur la manière dont
l'information est traitée par les médias qui sont censés nous informer.
Je vous autorise à reproduire, à diffuser, à traduire, à publier sur
vos sites et vos blogs le présent courriel. Merci, simplement, de le
publier intégralement et d'en citer la source.
- J'invite
ceux qui souhaitent recevoir mes prochains courriels d'information
directement à s'inscrire à ma lettre d'envoi périodique en cliquant sur le lien suivant.
- J'attire
l'attention de ceux qui souhaitent transmettre ce courriel en les
invitant à supprimer d'abord la dernière ligne de ce courriel qui vous
permet de vous désabonner. Sinon, un de vos correspondants pourrait
très bien vous désinscrire à votre insu en cliquant sur le lien au bas
du courriel.
Bonjour Josiane,
Non, ne comptez pas sur moi.Ne
comptez pas sur moi comme vous l'avez fait en automne 2009, lorsque je
me battais contre les projets de vaccination massive obligatoire contre
la grippe H1N1.
Ne comptez pas sur moi pour mener un nouveau combat
contre le nucléaire, suite aux événements catastrophiques qui ont lieu
à Fukushima Daiishi.
Pourquoi ? Parce que ce combat que j'ai
mené il y a près de deux ans m'a coûté très cher. Très cher en temps,
très cher en énergie, très cher en argent, très cher en réputation,
très cher psychologiquement, très cher émotionnellement, très cher
spirituellement. Je savais intellectuellement que lorsqu'on lutte
CONTRE ce qui nous semble le mal, on devient semblable à ce mal qu'on
combat. Je le savais intellectuellement, mais je ne l'avais pas
ressenti dans ma chair.
Avec le recul de ces dix-huit derniers
mois, j'ai compris qu'une facette de mon action avait été très utile à
des centaines de milliers de personnes qui ont reçu l'information dont
elles avaient besoin pour prendre la décision de ne pas se faire
vacciner avec ce vaccin dangereux et parfois mortel. Mon action (et
celle des autres militants) a été utile pour faire reculer les
gouvernements dans le projet de vaccination obligatoire (j'avais reçu
la confirmation confidentielle de la part de militaires qu'ils
attendaient les ordres pour encadrer par la force les opérations de
vaccination - heureusement, ces ordres n'ont jamais été donnés,
finalement, par crainte d'une guerre civile dans nos pays).
Par
contre, une autre facette de mon action (celle où mes émotions ont pris
les commandes de mes messages) a alimenté ce que je voulais combattre.
Et ça, je ne suis pas près d'oublier la dure leçon de vie qui fut la
mienne?
Néanmoins.
Je
suis frappé de constater qu'une fois de plus, les industries et les
gouvernements confirment leur sainte alliance avec les grands médias
pour protéger leurs intérêts, en se moquant totalement de nos vies, de
notre santé et de notre intégrité physique.Je
le répète. Je n'ai vraiment plus l'intention de partir en guerre contre
qui que ce soit. Et je n'ai pas l'intention d'y passer des heures. Il
me suffit de poser quelques questions, de vous transmettre quelques
références informatives (pour vérifier le contenu de mes questions) et
de vous laisser tirer vos propres conclusions.
Voici les questions que je me (vous) pose :- Pourquoi
les médias ont cessé de nous informer dix jours après la catastrophe
nucléaire de Fukushima, alors que la situation là-bas ne cesse de
s'aggraver ?
- Pourquoi une des
premières décisions prises par les autorités de santé publique a été de
relever le niveau des doses acceptables qu'une population peut
encaisser ? Comme si l'imminence de la catastrophe avait tout à coup
rendu nos organismes plus résistants à la radioactivité?
- Pourquoi
les autorités de santé publique et les gouvernements ont-ils donné
l'ordre de ne plus publier les mesures de radioactivité depuis fin mars
?
- Pourquoi ces mêmes autorités
ont-elles donné l'ordre d'arrêter de mesurer le taux de radioactivité
dans l'hémisphère Nord, alors que nous payons avec nos impôts, les
stations de mesure ?
- Pourquoi nous
a-t-on caché pendant deux mois et demi que les coeurs des réacteurs 1,
2 et 3 avaient fondu dans les heures et les jours qui ont suivi le 11
mars dernier, alors que plusieurs experts indépendants l'annonçaient
dans les jours qui ont suivi la catastrophe ?
- Pourquoi
aucun conseil de protection ne nous est donné de la part des autorités
de santé publique, à nous qui sommes concernés par la contamination de
l'air, du sol et de l'eau ?
- Pourquoi
ne nous dit-on pas que, chaque fois qu'il pleut, nous devrions éviter
de sortir, ou alors, utiliser un large parapluie pour ne pas ramener
chez nous, de l'eau et des particules contaminées ?
- Pourquoi
presque aucun média n'a révélé que, dès la fin du mois de mars, le lait
de plusieurs états américains avait un taux de radioactivité
anormalement élevé (depuis lors, les mêmes constats ont été faits en
France) ? En nous expliquant que la pluie avait contaminé l'herbe des
prés broutée par les vaches?
- Pourquoi
ne nous révèle-t-on pas que la mortalité des bébés a brusquement
augmenté ces deux derniers mois, dans les états de l'Ouest américain ?
À Philadelphie, par exemple, la mortalité a augmenté de 48 % en un
mois, à cause du lait contaminé et de l'eau contaminée du robinet? >> émission tv >> (référence)
- Pourquoi
ne nous dit-on pas que les centaines de milliers de tonnes d'eau
déversées sur les réacteurs sont sur le point de déborder des sous-sols
des centrales, et donc de contaminer encore davantage la région, les
nappes phréatiques et l'océan ? Et que les Japonais n'ont aucune
solution pour régler ce problème?
- Pourquoi
nous fait-on croire que la situation est sous contrôle, alors que les
déversements d'eau n'ont fait que retarder le moment où une explosion
majeure surviendrait ?
- Pourquoi ne
nous dit-on pas que le bâtiment numéro quatre est sur le point de
s'effondrer, avec les risques de relâcher dans l'environnement,
d'énormes quantités de plutonium capables de rayer le Japon de la carte
pour 100.000 ans >> émission tv >> (référence) ?
- Pourquoi
toutes les vidéos d'un ressortissant français vivant au Japon ont-elles
été supprimées de son compte Youtube depuis ce lundi 20 juin ? Il faut
préciser qu'Alex mettait une vidéo quasi-quotidienne sur Youtube pour
informer de la situation vécue depuis le Japon. Jusqu'à présent, ses
vidéos étaient vues par deux à quatre mille personnes. Sa vidéo de ce
week-end, dans laquelle il exprimait sa colère et son désespoir avait
déjà reçu 67.000 visiteurs en 48 heures, au moment où son compte a été
fermé ! Liberté de l'information, vous dites ? Heureusement, des
internautes malins avaient eu la bonne idée de copier sa vidéo et de la remettre en ligne.
Une petite dernière, juste pour la route !
- Pourquoi
l'administration Obama vient-elle de donner l'ordre d'interdire le
survol de la centrale de Fort Calhoun (Nébraska) par les avions de
tourisme et les hélicoptères, empêchant les journalistes d'informer la
population par la situation très préoccupante qui s'y déroule suite aux
inondations provoquées par le débordement du Missouri ?
- Pourquoi
cette même administration a-t-elle ordonné qu'aucune information sur la
situation périlleuse de la centrale ne soit divulguée (voir photo
ci-dessous) ?
Voici quelques références à partir desquelles vous pourrez faire vos propres lectures. J'ai mis ces références sur mon site Internet, dans un
dossier nucléaire. Chaque fois que je verrai passer un article de synthèse, je l'ajouterai sur mon propre site.
J'y
ai passé une petite centaine d'heures, pour me faire une opinion
personnelle, en vérifiant à chaque fois quel était l'intérêt de la
personne qui parlait. C'est intéressant de remarquer que tous les
experts indépendants, sans exception, sont critiques et inquiets de ce
qui se passe et des conséquences pour l'environnement, la santé des
populations et l'avenir de la planète. Par contre, aucun expert
travaillant pour l'industrie du nucléaire, aucun gouvernement impliqué
fortement dans le nucléaire (comme la France et les USA) n'est inquiet
de ce qui se passe. Au contraire, ils réaffirment, haut et fort, que le
nucléaire est irremplaçable, sûr et même bon pour lutter contre le
réchauffement climatique? Alors, de quoi nous plaignons-nous ?
À vous de réfléchir à ce qui se passe dans notre monde.À vous, à présent, d'oser sortir de votre naïveté à propos de la manière dont le monde fonctionne et est dirigé.Croyez-vous franchement que les médias ont pour mission de nous informés ? Le croyez-vous vraiment ?Croyez-vous
franchement que les industries se préoccupent de notre bien-être, de
notre santé, de notre vie ? Le croyez-vous vraiment ?Croyez-vous
franchement que les gouvernements sont là pour défendre les faibles que
nous sommes contre les puissants de ce monde ? Le croyez-vous vraiment ?C'est plus fort que moi. Mais je ne peux pas m'empêcher de faire un parallèle très simple avec l'affaire de
la grippe H1N1.- Pour
la grippe, il n'y avait aucun danger de pandémie. Des experts, comme le
professeur Debré l'ont dit et répété dès juillet 2009. On voyait bien
que dans l'hémisphère Sud (en plein hiver entre juin et septembre
2009), il y avait moins de morts que les autres années, malgré le fait
qu'ils ne disposaient pas du vaccin salvateur? Malgré l'absence de
danger, les médias ont entretenu un climat de peur quotidiennement
depuis le 25 avril 2009 jusqu'au 15 décembre 2009 ! Quotidiennement.
Avec quoi comme résultat ? 17.000 morts de la grippe en un an (contre
250.000 à 500.000 morts annuels dus à la grippe saisonnière),
c'est-à-dire rien du tout !
- Pour
Fukushima et Fort Calhoun, il y a un vrai danger. Des milliers de
kilomètres carrés sont déjà perdus pour des centaines d'années au
Japon. Les bébés meurent aux USA, les produits laitiers sont
contaminés, des centaines de millions de litres d'eau sont contaminées
dans les sous-sols des centrales et dans l'océan. Des particules
radioactives sont rejetées dans l'atmosphère en continu depuis trois
mois. Que font les médias ? Rien. Ils ne disent rien.
Mon commentaire : pour
la grippe H1N1, il fallait que les médias amplifient la peur face à un
danger inexistant pour servir les intérêts d'une industrie en perte de
vitesse (les compagnies pharmaceutiques). Pour Fukushima et Fort
Calhoun, il faut que les médias se taisent face à un danger bien réel
pour servir les intérêts d'une industrie en perte de crédibilité et de
contrôle (le nucléaire).
Vous voulez un autre parallèle ?
- Pour
la grippe, l'OMS a abaissé ses critères de seuil de pandémie le 29
avril 2009 (quatre jours après la première alerte). Ce qui lui a permis
de déclarer que la pandémie avait atteint le niveau 6 (le plus élevé)
le 11 juin 2009, déclenchant automatiquement l'exécution des contrats
qui avaient été signés quatre ans auparavant entre les gouvernements et
les compagnies pharmaceutiques. Dans ces contrats, il était spécifié
que si l'OMS éclarait une pandémie de niveau 6, les gouvernements
s'engageaient automatiquement à commander les vaccins pour lutter
contre cette pandémie.
- Pour
Fukushima, l'OMS et les autorités sanitaires ont relevé les seuils
acceptables d'irradiation des populations et des travailleurs du
nucléaire. Ce qui permet de ne pas être obligé d'ordonner des
évacuations massives des populations, puisque ces nouveaux seuils ne
sont pas atteints !
Mon commentaire : les
notions de seuil biologique et les critères d'acceptabilité ne sont pas
déterminés sur base médicale ou biologique, mais bien sur des bases
politiques, économiques et financières.
Un dernier parallèle ?
- Pour
la grippe, les experts qui se sont prononcés en faveur de la
vaccination et qui ont défendu la réalité de la pandémie étaient tous
payés par les compagnies pharmaceutiques qui fabriquaient les vaccins.
Ceux qui se sont prononcés contre la vaccination et qui ont dénoncé la
manipulation des chiffres, des faits et de l'information n'avaient rien
à gagner, au contraire (je suis bien placé pour en témoigner). Mais ce
sont ces derniers qui se sont faits traités de menteurs, de
conspirationnistes, de théoriciens du complot, de gourous de sectes, et
j'en passe. Jusqu'à ce que quelques équipes de journalistes viennent
confirmer ce qu'ils disaient, mais avec six à neuf mois de retard?
Quand les caisses des compagnies pharmaceutiques étaient bien remplies
et lorsque des milliers de personnes souffraient des effets secondaires
du vaccin (décès, paralysies, neurodégénérescences, narcolepsies,
malformations cardiaques chez les nouveaux-nés, etc.).
- Pour
Fukushima, les experts qui prennent la parole pour nous rassurer sur la
sécurité du nucléaire, sur l'inocuité des rejets de Fukushima et sur la
maîtrise de la situation sont, comme par hasard, tous payés par
l'industrie du nucléaire. Ceux qui dépensent leur énergie sans compter
pour relayer les quelques informations disponibles dans le monde n'ont
rien à gagner, de nouveau. Pourtant, il suffit de se balader quelques
minutes sur les forums pour voir comment ils se font agresser par ceux
qui refusent de voir. Pendant ce temps-là, les bébés commencent à
mourir dans l'Ouest des États-Unis?
Mon commentaire : tout est dit, c'est bien l'argent qui mène le monde.
Si
j'en avais le temps, je recommencerais une même analyse approfondie à
propos d'autres événements que nous vivons ou que nous avons vécus. Je
vous inviterais à réfléchir, par exemple, à ce qui se cache derrière la
bactérie E-Coli qui,
soi-disant, provoque une hécatombe en Allemagne. Comme pour le virus de
la grippe A H1N1, cette bactérie est jugée par les microbiologistes
comme une impossibilité naturelle. Pour eux, il est impossible qu'une
même bactérie soit résistante aux huit classes principales
d'antibiotiques connus. Mais qui pointe-t-on du doigt comme responsable
présumé de cette hécatombe (vous m'excuserez, mais 39 morts, ça n'a
rien d'une hécatombe) ? Une vilaine exploitation fermière de produits
biologiques en Allemagne? OUH les vilains qui cultivent encore à
l'ancienne ! Mais ne vous en faites pas, les scientifiques ont déjà la
solution : il suffira d'irradier systématiquement tous les aliments
(comme beaucoup le sont déjà dans l'industrie agroalimentaire
traditionnelle). Ainsi donc : adieu le bio, adieu les aliments vivants.
Bienvenue dans le monde du tout chimique, du tout irradié, du tout
aseptisé.
Cette fois donc, les médias ont intérêt à amplifier la
peur pour servir les intérêts des industries agroalimentaires
industrielles, promotrices des OGM et de la phytopharmacie.
Conclusion provisoireComme je vous le disais en commençant, ne comptez pas sur moi pour repartir dans un autre combat.
Car
ce combat, comme tous les autres (gaz de schiste, hold-up des pays et
des populations par les banques privées, chemtrails, terrorisme d'état,
pseudo-réchauffement climatique, etc.), est inutile.
Pourquoi ?
Parce que toutes ces choses que nous vivons actuellement sont le symptôme de l'ancien monde qui s'effondre.La logique du nucléaire est en train de s'effondrer et ne se relèvera pas.
La logique pharmaceutique est en train de s'effonder et ne se relèvera pas.
La logique agroalimentaire est à bout de souffle et ne se relèvera pas non plus.
La logique de concentration financière vit ses dernières heures avant une faillite globale et systémique.
Toutes
les logiques fondées sur la préservation des intérêts d'un petit nombre
au détriment de l'immense majorité des êtres vivants sur cette planète
ont fait du monde un monde pourri.
Le piège dans lequel
je me suis pris moi-même fut de croire que ce monde était mon monde. Je
croyais que je faisais partie de ce monde, alors qu'il n'en est rien.
Je ne partage aucune des valeurs de ce monde-là ; un monde fondé sur
l'individualisme, sur la cupidité, sur l'indifférence, sur le cynisme,
sur la méchanceté, sur le mensonge, sur la violence, sur
l'inconscience. Je ne partage aucune de ces valeurs. Pourtant, je
reconnais qu'il y a en moi des zones d'individualisme, de cupidité, de
cynisme, de méchanceté, de mensonge, de violence et d'inconscience. Et
c'est pour cela qu'un monde pareil peut encore tenir debout, malgré son
extrême fragilité.Depuis que je suis sorti du combat, en janvier 2010, je ne me pose qu'une seule question :
COMMENT CRÉER ENSEMBLE UNE MEILLEURE VIE ?Autrement
dit, et si nous laissions ce vieux monde s'effondrer tranquillement, en
souhaitant même que les choses s'accélèrent ? Et si nous investissions
réellement nos énergies à créer un autre monde. NOTRE monde, celui qui
correspond à ce à quoi nous aspirons de tout coeur? Un monde où nous
mettrions la conscience au coeur de nos vies, un monde où nous
pourrions reconnaître les parts de lumière comme les parts d'ombre qui
se trouvent en chacun de nous. Un monde où le respect de la vie, de la
nature, de la conscience serait la préoccupation centrale.
En
écrivant cela, je suis bien conscient que je n'ai pas de solution
concrète à vous partager. Mais sachez que je chemine dans cette voie.
J'ai juste l'intuition que ce meilleur monde, c'est ensemble que nous
en tracerons les contours et que nous en inventerons les lois. C'est la
raison pour laquelle je redouble mes efforts pour incarner dans mon
quotidien la voie alchimique, loin de cette dualité BIEN - MAL.
J'espère que, vous aussi, vous trouverez la voie qui vous convient pour
ne pas vous attacher à ce vieux navire en train de couler et pour
sauter, tant qu'il est encore temps.
La
seule chose dont je suis certain, c'est que plus nous lâcherons le
matérialisme, moins nous subirons les chocs qui nous attendent ces
prochains mois. C'est
ce à quoi je travaille depuis dix ans maintenant. Je gagne cinq fois
moins qu'il y a dix ans, je ne suis plus propriétaire de rien (ni
maison, ni voiture), sauf de ma société et de mes ordinateurs, je n'ai
plus aucun engagement financier auprès d'aucune institution (j'ai
contracté jusqu'à 500.000 euros d'emprunt !). Je me sens prêt et plus
léger pour accueillir la vague du changement. Et vous, Josiane,
êtes-vous prêt(e) ?
Restons debout, conscient et sans peur !
PS
: Je vous autorise à reproduire, à diffuser, à traduire, à publier sur
vos sites et vos blogs le présent courriel. Merci, simplement, de le
publier intégralement et d'en citer la source.